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Affichage des articles du janvier, 2014

Texte/Article - Une simple lettre à Helena Noguerra

Il y a une petite vingtaine d’années j’avais écrit une lettre à Helena Noguerra, sœur de la célèbre et cultissime Lio, mais non moins talentueuse. J’étais jeune à cette époque, dans les dix-huit ans, et bien entendu comme tous les jeunes hommes de cet âge j’étais rempli de rêves fous. L’un de ces rêves était de pouvoir prendre un contact, ne serait-ce que lointain, avec une fille que je regardai à l’époque quotidiennement sur M6 dans les clips du matin puis ensuite dans Plus vite que la musique, et dont, c’est idiot à présent je le sais, j’avais cru tomber amoureux. Tout était parti d’un flash entre amis, parce qu’en ces temps là on était super branchés ‘flash de malade’, comme la fois où l’on était rentrés à pieds depuis Sonceboz en escaladant la montagne en plein hiver, mais je le raconterai une autre fois ce flash là. Avec mon pote de l’époque, que j’ai malheureusement perdu de vue à présent, nous nous étions appliqués pour rédiger cette lettre. Cela ne devait pas êtr

Article - Ce que nous apprennent réellement les intox de la théorie du genre.

Les fameux quiproquos sur la théorie du genre qui font des merveilles d’articles sur le web en ce moment, nous donne à réfléchir sur les causes pouvant entrainer ces mésententes. Je soulignerai que les politiques démentent avec véhémence ( Peillon dément )   toute introduction de cette théorie dans les écoles et ce, même si cette ‘théorie’ n’existe en définitive pas ( la théorie du genre n’existe pas ), ce qui me semble un comble d’ignorance. Mais au-delà de cela que nous montre en définitive cette intox ? Et bien tout cela nous pousse inexorablement dans une société de sourd-muet de la connaissance, qui parlent pour ne rien dire, le plus souvent sans réfléchir, et n’écoute leurs interlocuteurs que pour reprendre leurs mots et les retourner contre eux grâce à quelques techniques rôdées de politicards pathétiques. De nos jours on ne parle plus pour exprimer une idée ou une façon de voir, on parle pour attirer l’attention et qu’on vote pour nous, aux chiottes les problèm

Texte - La douceur...

Oui il en a bien besoin de douceur ce monde… pensait-il, doucement bercer par les vagues d’une mer calme et profonde, une douce brise marine lui  fouettant son visage blême défait par le temps. Une brise sans doute venue de pays lointains. Là-bas de l’autre côté du monde, où rien n’est plus pareil mais où lui resterait le même, où qu’il soit, pour son propre désespoir. Comment aurait-il pu changer? Lui, l’égoïste humain qui n’avait jamais pensé qu’à lui. Son esprit ne pouvait être changé qu’avec l’aide des autres, leurs échanges et leurs connaissances l’aurait fait évoluer, tout comme eux il les aurait fait progresser. Malheureusement son estime de lui n’avait jamais pu lui permettre d’aller vers les autres en amis, il les haïssait et ne savais même pas pour quelles raisons. La douceur du monde… pourquoi n’y avait-il jamais eu accès ? Quelles étaient les motivations de ce Dieu invisible en lequel il avait cru toute sa vie ? Aurait-il loupé quelque chose ou simplement ét

Texte - Lettre à ma sublime inconnue.

Trop de tentatives vaines en face de ce qu’il me semble être la perfection enfin arrivée sur terre… Toi ! Toi . Et ton esprit, ton âme, qui me semblent aussi vastes que l’univers et pleins d’une lumière éclatante, respirant une vie assurément pleine de promesses incroyables m’étant inconnues jusqu’alors et inondant ma vie d’un bonheur exact et serein. Toi . Et ton rire si doux si apaisant, ta voix si calme et réparatrice de mes maux que j’aurai souhaité pouvoir entendre jusqu’à ma fin, notre fin et qui tel le chant des sirènes qu’Ulysse n’a pas sût apprécier, ne m’aurait jamais blessé, moi, j’en suis sûr. Toi . Et ton physique divin et irréel, pour ce monde si imparfait, que j’aurai souhaité explorer pour l’éternité. Tes yeux brillants de vie, ta jolie bouche arborant ce superbe sourire taquin, et tes petites oreilles d’une sensualité inimaginable cachées pudiquement derrière tes cheveux soyeux, si doux. Tes pieds si bien dessinés, tes hanches à damner un saint, longil